Le véritable choc se situe ailleurs : les infrastructures sont absolument indécentes ! Qu’il s’agisse du matériel réservé aux sections artistiques, des moyens financiers mis à la disposition de chaque département ou surtout du complexe sportif, le gigantisme est aberrant. On comprend aisément où vont les frais de scolarité lorsque l’on voit une telle profusion.
Cette profusion n’est hélas pas présente à tous les niveaux : à part un café, quelques bars et une boîte glauque à souhait, les abords du campus sont assez pauvres en lieux de détente. On sent que la ‘faculty’ tente de garder le nez des étudiants dans leurs bouquins.
En parlant de livre, les méthodes de travail locales diffèrent franchement des nôtres. Chaque étudiant est supposé lire un ou deux chapitres avant chaque cours en plus des nombreux ‘assignments’ et travaux de groupe. À raison de 15 à 40 pages par chapitre, les étudiants ont peu de chance de s’ennuyer lors des longues soirées d’hiver. Étrangement, la plupart trouvent le moyen de concilier études, job, sport à outrance et teufs bien souvent orgiaques. Trop forts, ces Américains !
Withers Building's doors
West Center, le 'gymnase'
Johnson Hall, département de danse, théâtre et communication
Roddey Apartments
Tillman Hall, International Center et symbole de Winthrop
Tillman: petit souvenir de l'esclavage...
President's House
Dacus Library
Une maison du Campus by night
Version saignante
1 commentaire:
quel suspense !!!
je commande une observation participante à un match de base ball !
Y O N, N A!!!!
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